Sur CNEWS ce week end, je débattais de la menace que les réseaux sociaux peuvent représenter pour notre démocratie. Internet est aussi un espace criminogène où l’exercice du droit pénal est limité, compte tenu du caractère extraterritorial de ce mode de communication.
Pour la chaîne Al Arabiya, je dénonce l’opprobre dont la communauté asiatique fait l’objet du fait de l’épidémie du Coronavirus. Internet ne doit pas être un déversoir de haine.
Pour M6, je fais le point sur l’application FaceApp qui vieillit les visages. Cette application russe n’est pas moins respectueuse du droit des données personnelles que d’autres applications américaines. Elle constitue néanmoins un danger pour la vie privée de ses utilisateurs et le RGPD n’est pas une menace suffisante pour en prévenir l’atteinte.
En France, on compte près de 100 millions d’utilisateurs de l’enceinte connectée d’Amazon. Une enquête a révélé que les employés de l’entreprise avait accès à des conversations des utilisateurs avec Alexa.
Alors qu’un site américain vient de révéler que des employés d’Amazon sont chargés d’écouter les conversations des utilisateurs d’Alexa, une question se pose : adhérer à la révolution technologique nous oblige-t-il à abandonner une partie de notre vie privée ? Que savent vraiment de nous les géants du net ?
Peu à peu, la Cnil décide de sanctionner ceux qui violent la réglementation.